Illustration : INA (Gwen Keraval)
A l'occasion du 70ème anniversaire des machines parlantes, Jean THEVENOT présente cette émission qui porte sur des points de vue du disquaire, du client, et du collectionneur de phonogrammes.
A 1'05'', reportage de Jean THEVENOT chez un disquaire (à l'époque, ce terme est considéré comme un néologisme), installé sur le boulevard Saint Michel à Paris : le disque est devenu essentiel à la musique et à son succès auprès d'une masse importante de gens (anecdote sur le "Boléro" de Ravel) ; ce que réclament les clients ; le rôle du dsquaire qui est de conseiller ; l'importance de la qualification du vendeur ; le disquaire explique que ça fait trente ans qu'il exerce ce métier qui le passionne.
A 6'50'' interview d'un client venu pour enrichir sa discothèque et acheter les morceaux de danse qui lui plaisent.
A 8'15'' : le disquaire pense que le disque est une passion ; les sacrifices que certaines personnes sont prêtes à faire dans le but d'acheter des disques ; ses ventes ; la difficulté de satisfaire les clients car la demande est plus forte que l'offre ; les morceaux de musique que les jeunes écoutent (du swing et de la musique classique) ; il vend surtout des morceaux de musique classique.
A 13'25'' : les clients n'ont pas toujours le souci de la qualité de son équipement pour lire les disques ; la difficulté de trouver des aiguilles sur le marché.
A 15'20'' : d'après le disquaire, le disque sera remplacé par la bande magnétique ou la bande de papier car elle permet d'écouter un morceau de musique dans sa continuité ; l'importance de faire des appareils commerciaux.
A 17'20'' : le client pense qu'il y aura toujours le plaisir d'écouter ses vieux disques.
A 17'30'', le point de vue du collectionneur, interview de Michel DEBRY (?), collectionneur et gramophile : ses 40000 disques amassés depuis les années trente ; les cinq cents gramophiles en France ; cette passion dans les pays anglo-saxons ; sa collections de phonographes et de cylindres ; il a fondé l'association française de gramophilie ; jusqu'où l'amène sa passion ; son plus ancien document est La voix du pape Léon XIII, décédé en 1903.
A 24'25'' : musique et désannonce.