Bernard Pivot interviewe, chez eux, Jean-Marie Gustave Le Clézio puis Jorgue Louis Borges. Le premier, qui fuit habituellement les micros et les caméras, évoque le silence, le désert, son rejet des villes et de l’argent. L’auteur argentin s’exprime sur sa conception de l’écrivain, sa cécité, son passé de bibliothécaire et sa passion des langues.
Bernard Pivot interviewe, chez eux, Jean-Marie Gustave Le Clézio puis Jorgue Louis Borges. Le premier, qui fuit habituellement les micros et les caméras, évoque le silence, le désert, son rejet des villes et de l’argent. L’auteur argentin s’exprime sur sa conception de l’écrivain, sa cécité, son passé de bibliothécaire et sa passion des langues.
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