Après avoir interrogé des usagers de la bibliothèque de Nanterre sur leurs lectures, Michel Polac rencontre le peintre André Masson. L'artiste évoque son attachement à Par-delà le bien et le mal de Nietzsche, qu'il emmena sur le front en 1914. Il évoque aussi Dostoïevski et Mallarmé, qui représentent pour lui "la création artistique à l'état pur".
Office national de radiodiffusion télévision française
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Après avoir interrogé des usagers de la bibliothèque de Nanterre sur leurs lectures, Michel Polac rencontre le peintre André Masson. L'artiste évoque son attachement à Par-delà le bien et le mal de Nietzsche, qu'il emmena sur le front en 1914. Il évoque aussi Dostoïevski et Mallarmé, qui représentent pour lui "la création artistique à l'état pur".
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