Toujours planqué derrière les jupons de sa mère, le petit Christian Lacroix prit rapidement conscience de son amour pour les femmes et pour les beaux tissus. Il souhaitait les habiller de matière, d'une nouvelle peau pleine de fantaisie. Le bonheur, c'était de devenir quelqu'un : un nom, une marque, une identité à vie.
Toujours planqué derrière les jupons de sa mère, le petit Christian Lacroix prit rapidement conscience de son amour pour les femmes et pour les beaux tissus. Il souhaitait les habiller de matière, d'une nouvelle peau pleine de fantaisie. Le bonheur, c'était de devenir quelqu'un : un nom, une marque, une identité à vie.
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