Martine a renoncé à l’interprétariat et à sa vie bourgeoise et douillette pour être bergère ! La jeune femme a suivi les cours de la Bergerie nationale de Rambouillet. Pour sa seconde transhumance, elle garde un troupeau de 300 béliers appartenant à un élevage d’Etat. Nous la suivons dans sa vie quotidienne avec son mari, lui aussi berger issu d'un milieu aisé.
Office national de radiodiffusion télévision française
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Martine a renoncé à l’interprétariat et à sa vie bourgeoise et douillette pour être bergère ! La jeune femme a suivi les cours de la Bergerie nationale de Rambouillet. Pour sa seconde transhumance, elle garde un troupeau de 300 béliers appartenant à un élevage d’Etat. Nous la suivons dans sa vie quotidienne avec son mari, lui aussi berger issu d'un milieu aisé.
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