Jane Birkin
Icône sensuelle et muse de Serge Gainsbourg, Jane Birkin s'est longtemps sentie dévalorisée. De sa vie, elle ne regrette pas grand-chose et s'estime heureuse d'avoir pu construire un foyer aimant et chaleureux pour ses enfants. Elle ne souhaite pas, à l'image de sa propre mère, tout sacrifier pour sa carrière.

Complément d’information :

Henry CHAPIER reçoit sur son divan, Jane BIRKIN. En introduction, un montage de photos retrace la vie de la jeune femme : ses origines anglaises, ses années où elle fut l'idole des sixties, la muse sexuelle de Serge GAINSBOURG et de Jacques DOILLON. Elle parle de toute sa famille: sa soeur Linda ainsi que son frère Andrew pour qui elle avait une grande admiration.Elle éprouvait un amour immense pour son père qu'elle a toujours connu malade. Sa mère, la comédienne Judy Campbell était célèbre mais Jane ne s¿en rendait pas compte quand elle était enfant. Elle a su plus tard que sa mère avait sacrifié sa carrière pour sa famille.Elle évoque son adolescence, ses poussées de violence quand elle était à l'internat.Elle raconte sa première audition pour une pièce de Graham GREENE. Elle a joué nue dans "Blow up" d'Antonioni, film qui a provoqué un véritable scandale. Elle a incarné un fantasme sexuel avec ce film et aussi "Je t'aime moi non plus" de Serge GAINSBOURG.Elle a essayé de retardé sa croissance physique pour continuer à ressembler à son frère. Le fait que Serge GAINSBOURG la trouve jolie l'a rééquilibrée, elle qui se trouvait "ratée".Elle se sent loin de ce qu'elle aurait voulu être. Elle aborde le thème de la bonté, une de ses aspirations.Elle évoque le rôle que Patrice CHEREAU a joué pour elle.Son rôle de copine auprès de ses enfants a rendu les choses plus difficiles. L'important c'est que les enfants sachent qu'ils sont aimés.
  • Production :

  • Institut national de l'audiovisuel

Partager sur :