Joseph Kessel raconte à Denise Glaser ses souvenirs des musiciens tziganes russes venus à Paris dans les années 1920 et 1930. Même s'il n'y a pas de vodka sur le plateau et qu'il ne fait pas nuit, l'ambiance est à la fête et à l'émotion, avec les interprétations des chanteurs Valia Dimitrievitch et Volodia Poliakov, au début et à la fin de l'entretien.
