« Je fais ce type de boulot parce que j’ai rien d’autre… y’a pas de sous métier » explique Mohammed. Comme Sabine, Claude ou Christelle, à Paris ou Rouen, de nombreux français acceptent des emplois précaires faute de mieux. A la clef : des salaires très bas, des horaires de travail décousus, et des conditions de travail limites, au profit de l’employeur.
« Je fais ce type de boulot parce que j’ai rien d’autre… y’a pas de sous métier » explique Mohammed. Comme Sabine, Claude ou Christelle, à Paris ou Rouen, de nombreux français acceptent des emplois précaires faute de mieux. A la clef : des salaires très bas, des horaires de travail décousus, et des conditions de travail limites, au profit de l’employeur.
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu