Alors qu'une certaine agitation règne dans les universités, l'ancien ministre de l'Education nationale revient sur la réforme de la loi Falloux - qui mit fin au monopole de l’État sur l’enseignement en 1850 - et la laïcité de l'école face à l'intégrisme musulman. Il s'exprime plus largement sur le PS et la gauche : « Pour moi, la politique est le refus de la fatalité ».
Alors qu'une certaine agitation règne dans les universités, l'ancien ministre de l'Education nationale revient sur la réforme de la loi Falloux - qui mit fin au monopole de l’État sur l’enseignement en 1850 - et la laïcité de l'école face à l'intégrisme musulman. Il s'exprime plus largement sur le PS et la gauche : « Pour moi, la politique est le refus de la fatalité ».
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