Michel Rocard revient sur son renoncement à la candidature socialiste à la présidence de la République. Il s’exprime sur le Congrès de Metz, la candidature de François Mitterrand, le plan de lutte de Georges Marchais, la candidature de Coluche, le combat contre Valéry Giscard d’Estaing, les nationalisations, le chômage et le Parti socialiste.
Michel Rocard revient sur son renoncement à la candidature socialiste à la présidence de la République. Il s’exprime sur le Congrès de Metz, la candidature de François Mitterrand, le plan de lutte de Georges Marchais, la candidature de Coluche, le combat contre Valéry Giscard d’Estaing, les nationalisations, le chômage et le Parti socialiste.
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