En 1972, Michel Sardou s’amuse des étiquettes que lui valent ses chansons : fasciste après Les Ricains, nationaliste pour J’habite en France, poujadiste suite au Rire du sergent. Lui se déclare "très main au cul" et pense que ses chansons plaisent parce qu’elles sont simples. Un portrait souriant d’un chanteur populaire très controversé !
Office national de radiodiffusion télévision française
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En 1972, Michel Sardou s’amuse des étiquettes que lui valent ses chansons : fasciste après Les Ricains, nationaliste pour J’habite en France, poujadiste suite au Rire du sergent. Lui se déclare "très main au cul" et pense que ses chansons plaisent parce qu’elles sont simples. Un portrait souriant d’un chanteur populaire très controversé !
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