Il est perçu comme le troisième homme de l’opposition dans la course à l’élection présidentielle de 1988, explique François-Henri de Virieu. « Pourquoi troisième ? » demande malicieusement Raymond Barre ! L'ancien premier ministre rappelle qu’il n'a jamais prétendu au « barrisme » et que la politique qu'il a menée est tout simplement celle du bon sens.
Il est perçu comme le troisième homme de l’opposition dans la course à l’élection présidentielle de 1988, explique François-Henri de Virieu. « Pourquoi troisième ? » demande malicieusement Raymond Barre ! L'ancien premier ministre rappelle qu’il n'a jamais prétendu au « barrisme » et que la politique qu'il a menée est tout simplement celle du bon sens.
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