Filmé en un superbe noir et blanc, la caméra de Mario Ruspoli nous emmène à la rencontre des malades de l'hôpital psychiatrique de Saint-Alban. S'attardant sur un visage, des mains qui fabriquent, cousent ou tapent, le réalisateur écoute ces personnes tantôt obsessionnelles et décousues, tantôt poétiques et troublantes de lucidité.
Filmé en un superbe noir et blanc, la caméra de Mario Ruspoli nous emmène à la rencontre des malades de l'hôpital psychiatrique de Saint-Alban. S'attardant sur un visage, des mains qui fabriquent, cousent ou tapent, le réalisateur écoute ces personnes tantôt obsessionnelles et décousues, tantôt poétiques et troublantes de lucidité.
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