Elle s'appelait Gabrielle d'Estrées, et sa beauté candide lui valut les faveurs d'un souverain de 20 ans son aîné. Fou d'amour, le roi Henri IV alla jusqu'à passer l'anneau du sacre au doigt de sa maîtresse, faisant fi des remontrances papales. Portrait d'une courtisane décriée, destinée à demeurer la " presque reine ".
Elle s'appelait Gabrielle d'Estrées, et sa beauté candide lui valut les faveurs d'un souverain de 20 ans son aîné. Fou d'amour, le roi Henri IV alla jusqu'à passer l'anneau du sacre au doigt de sa maîtresse, faisant fi des remontrances papales. Portrait d'une courtisane décriée, destinée à demeurer la " presque reine ".
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