Dickie-Roi est un chanteur de variétés des 60's au visage angélique, à la crinière dorée : une idole née. Rongé par la fatigue, la déprime et l'angoisse, Dickie va peu à peu perdre pieds, toujours suivi par son fidèle fan club. Dave incarne ce chanteur désabusé dans l'adaptation de la nouvelle de Françoise Mallet-Joris.
Dickie-Roi, un chanteur populaire, une vedette de variétés, revient d'une tournée au Japon. Il s'apprête à reprendre la route des galas à travers la France. Dans une ville du nord, le chapiteau se dresse pour l'accueillir tandis que le régiment de ses fans s'organise afin de pouvoir le suivre à travers la France.
Les fans de Dickie découvrent les attaques dont leur idole est l'objet. Des pétitions circulent pendant que l'entourage du chanteur cherche une idée pour restaurer son image de marque. Ils jettent leur dévolu sur une fan : Colette.
Drame à l'hôtel. Dickie est blessé par Colette. Celle-ci confie à un journaliste que le chanteur a peur d'une femme amoureuse. La nouvelle se répand, Dickie est ridiculisé. Pour le chanteur c'est la débandade : les ventes chutent, sa représentation est chahutée... Les nerfs de Dickie lâchent.
Dans l'hôtel de campagne où s'est installée l'équipe du chanteur, tout le monde est à la recherche de Dickie. On le retrouve en compagnie de son ami guitariste, Dan, tous deux complètement shootés. Alex fait alors appel au Père Paul Jannequin, une connaissance qui dirige une étrange chorale : "Les enfants du bonheur".
Dickie, anéanti par le suicide de Dan, a trouvé refuge dans le château des "Enfants du bonheur". Les fans, désemparés, errent autour du parc du château : craignant que leur idole ne soit en danger, ils sont prêts à en découdre avec les membres de la secte...
Dickie, qui traîne toujours sa mélancolie dans le château des "Enfants du bonheur", est l'enjeu d'une lutte sournoise entre ses fans et les membres de la secte. L'un d'eux, jaloux de l'ascendant grandissant du chanteur sur ses amis, drogue les boissons de tout le monde. La folie gagne l'ensemble des occupants.
Dickie-Roi est un chanteur de variétés des 60's au visage angélique, à la crinière dorée : une idole née. Rongé par la fatigue, la déprime et l'angoisse, Dickie va peu à peu perdre pieds, toujours suivi par son fidèle fan club. Dave incarne ce chanteur désabusé dans l'adaptation de la nouvelle de Françoise Mallet-Joris.
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Dickie-Roi, un chanteur populaire, une vedette de variétés, revient d'une tournée au Japon. Il s'apprête à reprendre la route des galas à travers la France. Dans une ville du nord, le chapiteau se dresse pour l'accueillir tandis que le régiment de ses fans s'organise afin de pouvoir le suivre à travers la France.
Les fans de Dickie découvrent les attaques dont leur idole est l'objet. Des pétitions circulent pendant que l'entourage du chanteur cherche une idée pour restaurer son image de marque. Ils jettent leur dévolu sur une fan : Colette.
Drame à l'hôtel. Dickie est blessé par Colette. Celle-ci confie à un journaliste que le chanteur a peur d'une femme amoureuse. La nouvelle se répand, Dickie est ridiculisé. Pour le chanteur c'est la débandade : les ventes chutent, sa représentation est chahutée... Les nerfs de Dickie lâchent.
Dans l'hôtel de campagne où s'est installée l'équipe du chanteur, tout le monde est à la recherche de Dickie. On le retrouve en compagnie de son ami guitariste, Dan, tous deux complètement shootés. Alex fait alors appel au Père Paul Jannequin, une connaissance qui dirige une étrange chorale : "Les enfants du bonheur".
Dickie, anéanti par le suicide de Dan, a trouvé refuge dans le château des "Enfants du bonheur". Les fans, désemparés, errent autour du parc du château : craignant que leur idole ne soit en danger, ils sont prêts à en découdre avec les membres de la secte...
Dickie, qui traîne toujours sa mélancolie dans le château des "Enfants du bonheur", est l'enjeu d'une lutte sournoise entre ses fans et les membres de la secte. L'un d'eux, jaloux de l'ascendant grandissant du chanteur sur ses amis, drogue les boissons de tout le monde. La folie gagne l'ensemble des occupants.