Au XIXème siècle, la France est bouleversée par la révolution industrielle, dont le chemin de fer est le symbole le plus emblématique. Antoine Delorme rêve d'aventures. Il quitte Marie pour le chemin de fer de Langeac. Plus le train avance, plus il laisse derrière lui ceux qui vivent de la route. Mais certains s'opposent au "monstre", comme le Colonel Vidal...
Antoine abandonne Marie sa fiancée pour devenir ouvrier du rail. Il s'aperçoit rapidement de la haine que suscite le chemin de fer pour tous ceux qui vivent de la route et du cheval. Jusqu'où le désir d'Antoine va-t-il le conduire, alors que sa fiancée lui a déclaré ne pas vouloir devenir la femme d'un mécanicien ?
Antoine n'écrit plus à sa fiancée Marie. Il reçoit un jour la visite d'Alexandre un ami d'enfance qui lui apprend que Marie s'ennuie. Antoine se met en colère et décide d'aller au village. Sur le parcours, la locomotive doit s'arrêter brusquement. Simple accident ou sabotage délibéré ?
Antoine quitte Marie. Il part pour Langeac, chez son ami le Frisé, qui lui présente ses oncles et sa cousine Virginie. Les oncles expriment leur peur du chemin de fer, soulignant ses dangers. Le lendemain, Antoine va aux ateliers où il rencontre Chambon et le chef mécanicien.
Après avoir rencontré l'ingénieur Fabre à la Société des Amis du Chemin de fer, Antoine passe ses nuits à fabriquer une maquette de locomotive. Mais il est arrêté et suspecté d'être l'auteur de l'attaque d'une péniche. Fabre, impressionné par la maquette d'Antoine, lui rend visite en prison.
Après sa sortie de prison, Antoine cherche Virginie mais la trouve en compagnie du directeur des Mines. Déçu, il fait ses adieux à la jeune fille. Il conduit une locomotive avec Claudius quand surgissent devant eux deux cavaliers, le colonel Vidal et le cosaque Tiarko, décidés à combattre le train, les armes à la main.
Antoine part à la recherche du colonel Vidal. Lequel reste persuadé qu'il a raison de se battre contre la machine. Avant de repartir sur la locomotive avec Chambon et Claudius, Antoine fait la connaissance de Céline, la fille de Chambon.
Antoine, toujours à la recherche de Vidal, se rend avec Annunciata dans un village où un avocat de la Compagnie des Chemins de fer tente de persuader les paysans de vendre leur terre pour faire passer le train. Mais Vidal n'abdique pas et menace les paysans de représailles s'ils vendent leur terre.
Antoine retrouve l'abbé Chantegrelet qui lui aussi trouve dangereux l'arrivée du chemin de fer. Les villageois perdent la tête, cherchant à gagner de l'argent en rachetant des fermes. Le colonel Vidal continue ses sabotages. L'ingénieur et Barnett décident de faire appel à la maréchaussée pour l'arrêter lui et ses complices.
Prévenu par Annunciata que Vidal a déboulonné les rails, Antoine arrête à temps le train conduit par Chambon. Un peu plus tard, il rencontre Alexandre et Marie partant en voyage de noces. Barnett échoue dans sa tentative d'arrêter Vidal mais Antoine le retrouve, lui et Tiarko. Après les avoir assommés, il s'enfuit avec Annunciata.
Les sabotages sur les chantiers de construction de la ligne de chemin de fer continuent. Les ouvriers redoublent d'ardeur pour réparer mais le Frisé meurt accidentellement au cours d'une opération de dynamitage. Malgré les efforts d'Antoine pour accélérer sa locomotive, une femme accouche dans le train.
Barnett, aidé de trois gendarmes, finit par arrêter le Colonel Vidal et le pousse de force dans le train, mais Tiarko réussit à le faire évader. Conseillé par l'abbé Chantegrelet, Antoine propose le mariage à Annunciata, mais avant il doit faire sa demande à Vidal. L'abbé tente d'intercéder en sa faveur, sans succès.
Antoine emmène Annunciata au bal. Métamorphosée par Madame Bezac, Antoine est sous le charme. Après avoir dansé avec elle, Antoine valse avec Céline. Barnett, vexé devant le refus d'Annunciata de lui accorder une danse, lui tend un piège.
Un ministre doit visiter la ligne de la montagne. Tous les mécaniciens se demandent qui sera choisi pour conduire le train officiel. Céline vient annoncer à Antoine qu'il a été choisi comme chauffeur de la locomotive. Fou de joie, Antoine l'embrasse. Annunciata, qui a tout entendu, fait son baluchon et s'enfuit retrouver son père dans la montagne.
Le jour de la visite du ministre est arrivé. Parmi les officiels Antoine reconnait Virginie, devenue la femme du directeur des Mines, également député. Sur la plate-forme, Antoine et Virginie évoquent leur passé. Le ministre félicite Antoine pour sa maîtrise et son courage.
Antoine part à la recherche d'Annunciata qui s'enfuit dès son arrivée. Vidal devient de plus en plus fou. Il a vendu toutes ses terres et avec l'argent récolté, fait le voeu de "tuer" le chemin de fer. L'abbé conseille à Antoine d'oublier Annunciata. Barnett demande à Chambon la main de sa fille Céline. Celle-ci refuse brutalement.
Vidal, qui vient d'acheter une diligence, explique son plan à Annunciata : concurrencer le train en proposant gratuitement aux voyageurs des trajets en diligence. Mais le postillon ivre qu'il avait pris sous son aile, est parti avec tout son or.
Vidal décide de dérober l'argent de la paye de la compagnie du chemin de fer. Tandis que Vidal et Tiarko font diversion, sa fille doit subtiliser la caisse. Ce qu'elle fait, mais pour la rendre, sans un mot, à Antoine qui la poursuivait. Antoine et Chambon présentent leur projet d'injecteur à Monsieur l'ingénieur qui est fort impressionné.
Vidal, trahi par sa fille, est amer et furieux, mais il repart plus décidé encore. Antoine, après une visite à l'abbé qui héberge le postillon, récupère l'or de Vidal et le rapporte à Annunciata. Chambon est triste, Caroline, sa locomotive, a rendu l'âme. Antoine est déçu, son projet d'injecteur, arrive un peu tard, un brevet avait déjà était déposé.
Barnett force Chambon à conduire deux nuits de suite. Epuisés, Chambon et Carpolino s'endorment. Le drame est inévitable, ils percutent un train à l'arrêt. A l'initiative d'Antoine, les mécaniciens se réunissent et décident de fonder une société de secours mutuel pour aider Chambon et les futurs accidentés et malades de la Compagnie du Chemin de Fer.
Après leur accident, Chambon et Carpolino sont interrogés par le Juge. Ils admettent s'être endormis. Antoine réunit, de nouveau, ses compagnons pour venir en aide à Chambon et s'élever contre les cadences infernales imposées aux mécaniciens. Ils décident d'écrire une supplique au Juge. Vidal espère la condamnation du Chemin de Fer.
Antoine présente la Princesse, sa locomotive, à Céline. Il en profite pour lui faire sa déclaration. Mais l'ingénieur survient et ordonne à Antoine de partir immédiatement dépanner un train. Céline fait le voyage sur la plate-forme. Barnett, ivre, découvrant Céline cachée sous la bâche, déclenche une bagarre.
Antoine, Madame Chambon et sa fille, les compagnons du Chemin de fer, tous préparent le mariage. Vidal récupère le postillon et le ramène chez lui mais bientôt il est démasqué. Après avoir quitté son père, Annunciata redescend en ville et apprend le mariage de Céline et Antoine.
Annunciata, écrasée de chagrin, erre, comme une sauvageonne. De leur côté, Antoine et Céline vivent heureux. Barnett, sur le point de repartir en Angleterre, fait la paix avec Antoine. La date de l'inauguration approche, les cheminots s'activent pour finir la construction de la voie ferrée. Et la menace de Vidal plane toujours sur le chantier...
La jonction de la ligne est effectuée. Le train officiel sera conduit par Chambon qui apprend une autre bonne nouvelle, il va être grand-père. Toujours dans sa campagne anti-ferroviaire, le colonel Vidal propose, le jour de l'inauguration de la ligne de transporter gratuitement les voyageurs en diligence.
Le jour de l'inauguration de la ligne est arrivé. La course entre le train officiel conduit par Chambon et Carpolino et la diligence de Vidal s'engage. Pour retarder le train, Tiarko assomme, les uns après les autres, les garde-voie. Mais la journée va être assombrie par Annunciata.
Chambon veut prendre sa retraite. Antoine est comblé par la naissance de son fils. Vidal doit accomplir une mission en souvenir d'Annunciata. Les années passent, et la locomotive à vapeur est bientôt remplacée par le train électrique...
Office national de radiodiffusion télévision française
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Au XIXème siècle, la France est bouleversée par la révolution industrielle, dont le chemin de fer est le symbole le plus emblématique. Antoine Delorme rêve d'aventures. Il quitte Marie pour le chemin de fer de Langeac. Plus le train avance, plus il laisse derrière lui ceux qui vivent de la route. Mais certains s'opposent au "monstre", comme le Colonel Vidal...
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<div>Antoine abandonne Marie sa fiancée pour devenir ouvrier du rail. Il s'aperçoit rapidement de la haine que suscite le chemin de fer pour tous ceux qui vivent de la route et du cheval. Jusqu'où le désir d'Antoine va-t-il le conduire, alors que sa fiancée lui a déclaré ne pas vouloir devenir la femme d'un mécanicien ?</div>
<div>Antoine n'écrit plus à sa fiancée Marie. Il reçoit un jour la visite d'Alexandre un ami d'enfance qui lui apprend que Marie s'ennuie. Antoine se met en colère et décide d'aller au village. Sur le parcours, la locomotive doit s'arrêter brusquement. Simple accident ou sabotage délibéré ? </div>
<div>Antoine quitte Marie. Il part pour Langeac, chez son ami le Frisé, qui lui présente ses oncles et sa cousine Virginie. Les oncles expriment leur peur du chemin de fer, soulignant ses dangers. Le lendemain, Antoine va aux ateliers où il rencontre Chambon et le chef mécanicien. </div>
<div>Après avoir rencontré l'ingénieur Fabre à la Société des Amis du Chemin de fer, Antoine passe ses nuits à fabriquer une maquette de locomotive. Mais il est arrêté et suspecté d'être l'auteur de l'attaque d'une péniche. Fabre, impressionné par la maquette d'Antoine, lui rend visite en prison. </div>
<div>Après sa sortie de prison, Antoine cherche Virginie mais la trouve en compagnie du directeur des Mines. Déçu, il fait ses adieux à la jeune fille. Il conduit une locomotive avec Claudius quand surgissent devant eux deux cavaliers, le colonel Vidal et le cosaque Tiarko, décidés à combattre le train, les armes à la main.</div>
<div>Antoine part à la recherche du colonel Vidal. Lequel reste persuadé qu'il a raison de se battre contre la machine. Avant de repartir sur la locomotive avec Chambon et Claudius, Antoine fait la connaissance de Céline, la fille de Chambon. </div>
<div>Antoine, toujours à la recherche de Vidal, se rend avec Annunciata dans un village où un avocat de la Compagnie des Chemins de fer tente de persuader les paysans de vendre leur terre pour faire passer le train. Mais Vidal n'abdique pas et menace les paysans de représailles s'ils vendent leur terre.</div>
<div>Antoine retrouve l'abbé Chantegrelet qui lui aussi trouve dangereux l'arrivée du chemin de fer. Les villageois perdent la tête, cherchant à gagner de l'argent en rachetant des fermes. Le colonel Vidal continue ses sabotages. L'ingénieur et Barnett décident de faire appel à la maréchaussée pour l'arrêter lui et ses complices. </div>
<div>Prévenu par Annunciata que Vidal a déboulonné les rails, Antoine arrête à temps le train conduit par Chambon. Un peu plus tard, il rencontre Alexandre et Marie partant en voyage de noces. Barnett échoue dans sa tentative d'arrêter Vidal mais Antoine le retrouve, lui et Tiarko. Après les avoir assommés, il s'enfuit avec Annunciata. </div>
<div>Les sabotages sur les chantiers de construction de la ligne de chemin de fer continuent. Les ouvriers redoublent d'ardeur pour réparer mais le Frisé meurt accidentellement au cours d'une opération de dynamitage. Malgré les efforts d'Antoine pour accélérer sa locomotive, une femme accouche dans le train.</div>
<div>Barnett, aidé de trois gendarmes, finit par arrêter le Colonel Vidal et le pousse de force dans le train, mais Tiarko réussit à le faire évader. Conseillé par l'abbé Chantegrelet, Antoine propose le mariage à Annunciata, mais avant il doit faire sa demande à Vidal. L'abbé tente d'intercéder en sa faveur, sans succès.</div>
<div>Antoine emmène Annunciata au bal. Métamorphosée par Madame Bezac, Antoine est sous le charme. Après avoir dansé avec elle, Antoine valse avec Céline. Barnett, vexé devant le refus d'Annunciata de lui accorder une danse, lui tend un piège. </div>
<div>Un ministre doit visiter la ligne de la montagne. Tous les mécaniciens se demandent qui sera choisi pour conduire le train officiel. Céline vient annoncer à Antoine qu'il a été choisi comme chauffeur de la locomotive. Fou de joie, Antoine l'embrasse. Annunciata, qui a tout entendu, fait son baluchon et s'enfuit retrouver son père dans la montagne.</div>
<div>Le jour de la visite du ministre est arrivé. Parmi les officiels Antoine reconnait Virginie, devenue la femme du directeur des Mines, également député. Sur la plate-forme, Antoine et Virginie évoquent leur passé. Le ministre félicite Antoine pour sa maîtrise et son courage.</div>
<div>Antoine part à la recherche d'Annunciata qui s'enfuit dès son arrivée. Vidal devient de plus en plus fou. Il a vendu toutes ses terres et avec l'argent récolté, fait le voeu de "tuer" le chemin de fer. L'abbé conseille à Antoine d'oublier Annunciata. Barnett demande à Chambon la main de sa fille Céline. Celle-ci refuse brutalement.</div>
<div>Vidal, qui vient d'acheter une diligence, explique son plan à Annunciata : concurrencer le train en proposant gratuitement aux voyageurs des trajets en diligence. Mais le postillon ivre qu'il avait pris sous son aile, est parti avec tout son or.</div>
<div>Vidal décide de dérober l'argent de la paye de la compagnie du chemin de fer. Tandis que Vidal et Tiarko font diversion, sa fille doit subtiliser la caisse. Ce qu'elle fait, mais pour la rendre, sans un mot, à Antoine qui la poursuivait. Antoine et Chambon présentent leur projet d'injecteur à Monsieur l'ingénieur qui est fort impressionné.</div>
<div>Vidal, trahi par sa fille, est amer et furieux, mais il repart plus décidé encore. Antoine, après une visite à l'abbé qui héberge le postillon, récupère l'or de Vidal et le rapporte à Annunciata. Chambon est triste, Caroline, sa locomotive, a rendu l'âme. Antoine est déçu, son projet d'injecteur, arrive un peu tard, un brevet avait déjà était déposé.</div>
<div>Barnett force Chambon à conduire deux nuits de suite. Epuisés, Chambon et Carpolino s'endorment. Le drame est inévitable, ils percutent un train à l'arrêt. A l'initiative d'Antoine, les mécaniciens se réunissent et décident de fonder une société de secours mutuel pour aider Chambon et les futurs accidentés et malades de la Compagnie du Chemin de Fer.</div>
<div>Après leur accident, Chambon et Carpolino sont interrogés par le Juge. Ils admettent s'être endormis. Antoine réunit, de nouveau, ses compagnons pour venir en aide à Chambon et s'élever contre les cadences infernales imposées aux mécaniciens. Ils décident d'écrire une supplique au Juge. Vidal espère la condamnation du Chemin de Fer.</div>
<div>Antoine présente la Princesse, sa locomotive, à Céline. Il en profite pour lui faire sa déclaration. Mais l'ingénieur survient et ordonne à Antoine de partir immédiatement dépanner un train. Céline fait le voyage sur la plate-forme. Barnett, ivre, découvrant Céline cachée sous la bâche, déclenche une bagarre.</div>
<div>Antoine, Madame Chambon et sa fille, les compagnons du Chemin de fer, tous préparent le mariage. Vidal récupère le postillon et le ramène chez lui mais bientôt il est démasqué. Après avoir quitté son père, Annunciata redescend en ville et apprend le mariage de Céline et Antoine.</div>
<div>Annunciata, écrasée de chagrin, erre, comme une sauvageonne. De leur côté, Antoine et Céline vivent heureux. Barnett, sur le point de repartir en Angleterre, fait la paix avec Antoine. La date de l'inauguration approche, les cheminots s'activent pour finir la construction de la voie ferrée. Et la menace de Vidal plane toujours sur le chantier...</div>
<div>La jonction de la ligne est effectuée. Le train officiel sera conduit par Chambon qui apprend une autre bonne nouvelle, il va être grand-père. Toujours dans sa campagne anti-ferroviaire, le colonel Vidal propose, le jour de l'inauguration de la ligne de transporter gratuitement les voyageurs en diligence.</div>
<div>Le jour de l'inauguration de la ligne est arrivé. La course entre le train officiel conduit par Chambon et Carpolino et la diligence de Vidal s'engage. Pour retarder le train, Tiarko assomme, les uns après les autres, les garde-voie. Mais la journée va être assombrie par Annunciata.</div>
<div>Chambon veut prendre sa retraite. Antoine est comblé par la naissance de son fils. Vidal doit accomplir une mission en souvenir d'Annunciata. Les années passent, et la locomotive à vapeur est bientôt remplacée par le train électrique...</div>