La famille Deutz fête les 25 ans de son entreprise. Aux festivités organisées se mêlent des prises de décisions cruciales pour le devenir de l'affaire familiale... Depuis les dangereuses histoires de cœur jusqu'aux jalousies les plus vives, Les Liens du sang apparaît comme une reconstitution fastueuse des années 1910, avec un Burt Lancaster flamboyant.
La famille Deutz fête les 25 ans de son entreprise. Les festivités s’accompagnent de prises de décisions cruciales pour le devenir de l’affaire familiale. Mais les différends ne tardent pas à opposer les membres et à se mêler à de dangereuses histoires de cœur… Une reconstitution fastueuse des années 1910, avec un Burt Lancaster flamboyant.
Après le récent incident, l’usine Deutz se remet sur pied et se dote d’une toute nouvelle invention qui la rapproche de la consécration. La Grande Guerre a déjà passé les frontières du pays et la famille participe à l’effort en fabriquant des armes chimiques. Mais très vite, culpabilité et chagrins plongent l’entreprise dans une situation délicate.
Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, la famille Deutz est plus que jamais divisée sur l’éthique de ses usines, qui continuent d’approvisionner l’armée allemande en armes dévastatrices. Cette scission politique se double de tragédies intimes qui auront de lourdes conséquences sur l’avenir de l’entreprise.
Après avoir frôlé la mort, le vieux Deutz se met en quête d’un successeur. C’est tout naturellement vers son petit fils qu’il se tourne, sans se douter que celui-ci a d’autres ambitions. En parallèle, Friedrich se démène dans l’ombre pour mener à bien un projet d'envergure auquel le conseiller s'est toujours opposé.
La fusion à peine effectuée, Heinrich et Friedrich sont déjà en désaccord quant aux investissements qui s’imposent pour le complexe industriel. Le conseiller Deutz retrouve son petit-fils et entreprend de se réconcilier avec lui. Mais le son du glas menace de couvrir le bruit des multiples querelles de la famille.
La chance tourne pour le consortium Deutz, qui se voit contraint de faire face à la crise économique. Alors que les industries exercent un empire de plus en plus flagrant sur la sphère politique, un rapprochement avec Hitler est envisagé. De son côté, Georg se révèle plus sensible que prévu aux doctrines nazies… Serait-ce le début de la fin ?
L’influence nationaliste gagne une ampleur inédite et, malgré le soutien apporté au parti, de nombreux savants juifs sont expulsés par Hitler. En toile de fond se trament des histoires d’espionnage et d’échanges industriels que les nazis voient d’un très mauvais œil et qui menacent la pérennité du complexe Deutz.
L’épopée industrielle de la famille Deutz se poursuit sous les coups de canon de la Seconde Guerre mondiale. La capitulation de l’armée française en juin 1940 ouvre la voie à un nouveau et ambitieux projet de construction d’un complexe financé par le Consortium. Une aubaine qui n’est pourtant pas du goût de tous.
Malgré la réticence de certains membres du Consortium, le projet de mise sur pied d’un gigantesque complexe industriel prend tournure. Pourtant, quelque chose d’autre chiffonne Heinrich : les SS commandent des quantités colossales de gaz insecticide à leurs usines. Le scandale menace d’éclater à tout instant.
La guerre touche à sa fin et les grandes usines allemandes sombrent sous les bombardements alliés. Au grand désespoir d’Henri Beck, sa création n’est pas épargnée. Pourtant, une autre menace bien plus pernicieuse plane au-dessus du Consortium : le procès de Nuremberg. Alors que tout est réduit en cendres, un espoir est-il encore permis ?
La famille Deutz fête les 25 ans de son entreprise. Aux festivités organisées se mêlent des prises de décisions cruciales pour le devenir de l'affaire familiale... Depuis les dangereuses histoires de cœur jusqu'aux jalousies les plus vives, Les Liens du sang apparaît comme une reconstitution fastueuse des années 1910, avec un Burt Lancaster flamboyant.
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<div>La famille Deutz fête les 25 ans de son entreprise. Les festivités s’accompagnent de prises de décisions cruciales pour le devenir de l’affaire familiale. Mais les différends ne tardent pas à opposer les membres et à se mêler à de dangereuses histoires de cœur… Une reconstitution fastueuse des années 1910, avec un Burt Lancaster flamboyant.</div>
<div>Après le récent incident, l’usine Deutz se remet sur pied et se dote d’une toute nouvelle invention qui la rapproche de la consécration. La Grande Guerre a déjà passé les frontières du pays et la famille participe à l’effort en fabriquant des armes chimiques. Mais très vite, culpabilité et chagrins plongent l’entreprise dans une situation délicate.</div>
<div>Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, la famille Deutz est plus que jamais divisée sur l’éthique de ses usines, qui continuent d’approvisionner l’armée allemande en armes dévastatrices. Cette scission politique se double de tragédies intimes qui auront de lourdes conséquences sur l’avenir de l’entreprise.</div>
<div>Après avoir frôlé la mort, le vieux Deutz se met en quête d’un successeur. C’est tout naturellement vers son petit fils qu’il se tourne, sans se douter que celui-ci a d’autres ambitions. En parallèle, Friedrich se démène dans l’ombre pour mener à bien un projet d'envergure auquel le conseiller s'est toujours opposé.</div>
<div>La fusion à peine effectuée, Heinrich et Friedrich sont déjà en désaccord quant aux investissements qui s’imposent pour le complexe industriel. Le conseiller Deutz retrouve son petit-fils et entreprend de se réconcilier avec lui. Mais le son du glas menace de couvrir le bruit des multiples querelles de la famille.</div>
<div>La chance tourne pour le consortium Deutz, qui se voit contraint de faire face à la crise économique. Alors que les industries exercent un empire de plus en plus flagrant sur la sphère politique, un rapprochement avec Hitler est envisagé. De son côté, Georg se révèle plus sensible que prévu aux doctrines nazies… Serait-ce le début de la fin ?</div>
<div>L’influence nationaliste gagne une ampleur inédite et, malgré le soutien apporté au parti, de nombreux savants juifs sont expulsés par Hitler. En toile de fond se trament des histoires d’espionnage et d’échanges industriels que les nazis voient d’un très mauvais œil et qui menacent la pérennité du complexe Deutz.</div>
<div>L’épopée industrielle de la famille Deutz se poursuit sous les coups de canon de la Seconde Guerre mondiale. La capitulation de l’armée française en juin 1940 ouvre la voie à un nouveau et ambitieux projet de construction d’un complexe financé par le Consortium. Une aubaine qui n’est pourtant pas du goût de tous.</div>
<div>Malgré la réticence de certains membres du Consortium, le projet de mise sur pied d’un gigantesque complexe industriel prend tournure. Pourtant, quelque chose d’autre chiffonne Heinrich : les SS commandent des quantités colossales de gaz insecticide à leurs usines. Le scandale menace d’éclater à tout instant.</div>
<div>La guerre touche à sa fin et les grandes usines allemandes sombrent sous les bombardements alliés. Au grand désespoir d’Henri Beck, sa création n’est pas épargnée. Pourtant, une autre menace bien plus pernicieuse plane au-dessus du Consortium : le procès de Nuremberg. Alors que tout est réduit en cendres, un espoir est-il encore permis ?</div>