En août 1944, Guingouin obtient sans combat la reddition de la garnison de Limoges, et est élu maire l’année suivante. Il est cependant marginalisé par la direction du PCF et en est exclu en 1952. A l’issue d’une machination, il est incarcéré et ne retrouvera sa liberté qu’en 1954. Assisté de deux jeunes avocats, Robert Badinter et Roland Dumas, il obtient un non-lieu en 1959.